RUBY MY DEAR

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Cigarette in his mouth, he crossed the street at a red light, his eyes tightly closed. As usual, deep down, he secretly wished to be hit by a truck, hands in pockets, breathing calmly. Go on and crush me. He walked straight ahead.
Stay calm. Breathe. The bus stopped.
No luck. He continued on his way, and once his head was engulfed in the crowd, the looks turned towards his imposing stature, his natural eccentricity, his fiery hair with the scent of stale tobacco, sweat, and shame.
The city is noisy on sunny mornings. Normal humans go shopping, occupy themselves with distractions, enter stores, buy products only to end up unhappy and eventually blame themselves. It's not even their fault. They drool over things they don't really need, as their closets overflow with useless clothes of mediocre quality, manufactured by exploited factory workers. They buy useless things and pretend to belong to a social class, they speak loudly, too much, they boast or complain about their lives without taking the time to listen to others. They don't even mean to, it's not even their fault.
Society has conditioned them this way. We live in an era which everything around us seems absolutely normal and acceptable, we are just so used to it, and it would require too much effort to change things.
We are victims of our own fate. But we are weak and afraid of change. So we find it easier to lock ourselves in our illusion, which accidentally becomes our reality. Many people are stuck between this false reality and nurture their own little fiction of the world without caring about the real problem. There are far too many of us who are completely lost in this infernal cycle.
But not me. I wouldn't get lost. Because I have no road to follow. The path I decided to walk on, I'll keep continue this way.
And I'm aware that my body and heart could be torn apart or shattered on the dirty asphalt of a boiling city by a random accident that could simply happen. A total coincidence. Losing my life along the way.


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« To live is to take risks. »

Impulsive / Calm
Confident / Inconfident
Loner / Social
Down to earth / Detached
Pessimist / Optimist
Introvert / Extrovert
Life lover
Freedom / Control
Intense / Scattered
Live day to day / Future projection
Wake up early / Stay up at night

oh to be trusted...

"When I met them, it was in intense odd, uncommon conditions. I've been looking for myself, for my identity, my desires. My needs. It appears that you attract people who essentially have the same core as you, the power of an aura. Paradoxally, you are also attracted by the exact opposite. An balance between Harmony and Chaos, they say. Something that rules the world as the dimensions has a indeniable control on you. That is why and how we try to detach the connexions of ourselves to connect more with others. We met in a ritual. Not like, that I've been part of a cult, but it was more simple based on our logical issues of reuniting people that could trust you, understand you, support you. Life valorizes association. A human alone has less chance to live a long life. We need each other. The fire has been given to light our paths, to brings together life. Thats is how I found myself sitting around a table with candle in the centrum. We all are sharing the same interests in a way, we were infinitely conscious of the void that wander in our world. We were looking for filling that emptiness."

notes

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for your health, safety

STAY AWAY !! from me, from my partners, from my world

" You will never catch me..."

I lost interest. That annoying 
feeling when it seems you understand things a little bit
too well.

"When I love, I love too much...
when i drink, i drink too much..."

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I wish I could share my point of view with someone
Loneliness hits harder than usual, maybe is it the cold colour of the sky that make me feel this way ?
Humans aren't mean to live isolated but I keep distancing myself from my lover's one to not getting hurt. To not seeing myself vulnerable. I am thinking too much. Where was the time when love was a simple feeling ? Relationships kill my heart and I'm seeking for it again.



Encounter K :

Putain. Je me lève de ce lit, les draps sont mouillés, déchirés et les bords ont sautés. À coté de moi, est allongé une muse, ses cheveux flamboyants sentent le shampoing de sa toilette précédente, ils sont emmelés. Il dort paisiblement, les yeux clos. Une corde blanche enroulée autour de son poignet, les draps mauves, les coussins éparpillés.
Il m'a demandé de devenir son esclave sxuel, et j'ai accepté. Pour l'expérience, pour voir ces murs rouges tant vantés et entendus.
Son environnement est organisé, et son caractère est très droit, franc et il aime tenir tête : je n'avais aucune chance de me battre contre lui. Il souffrait de solitude, n'aimait pas être marqué (d'autres conquêtes ?), et son atout, son arme est le charme infini de sa chevelure. Aussi sublime de Die ou Kami, sa tête était ornée d'un halo diabolique et l'intensité de ses gestes étaient relatifs à son manque. Je ne le connaissais pas plus que ça, et ne voulait pas réellement entrer dans sa vie. Il a son rythme, ses habitufes, passions et obsessions, et malgré moi, j'étais attiré par lui.
Lorsqu'il a déroulé ses cheveux devant moi, j'ai bien cru qu'il m'enfonçait un couteau dans le coeur. Je n'ai jamais vu un tel spectacle. Je me suis dis qu'il pouvait faire de moi ce qu'il voulait, car l'occasion de se faire touché, regardé, utilisé par un tel être, était le fantasme le plus vivant qui sommeillait en moi.
 Ses mains sont toujours glaciales, il a le fumant. Je souhaite de toutes les parcelles de mon être qu'il me brûle, me déchire, me tyranise, enfonce sa main dans mon esprit et arrache tout. Je le regarde fumer. Nos lèvres se joignent, ma main sur son torse, je le repousse. Je veux qu'il me tire les organes, alors je tire ses cheveux, défait sa natte, mords dans ses joues, ses oreilles, le coin de sa mâchoire. Qu'il aime ou déteste ça, il me fait payer. J'enfonce mes ongles dans ses poignets, il me fixe intensément du regard, me perce avec son iris. Sociopathe. Psychopathe. Fou. Il est entre le monde et la NaissanceE. J'ignore si il sait ce qu'il fait. J'ignore si il sait que j'ignore. Il m'embrasse sur mes lèvres déjà meurtries. Me mords les lèvres, poussa sa langue dans ma bouche. Je déteste ça. 

Après nos ébats, j'ai l'esprit confus. Je ne sais où me mettre. La pièce me semble plongée dans un espace intemporel, irréel.
Nous sommes des adultes à présent. Ici, la drogue est abondante, nous n'avons plus besoin de chercher, elle vient à nous, tombe dans nos mains, dans nos poches, dans nos veines. Les injections le calment. Je sens couler l'orgasme, le malsain qui s'échappe par mon souffle.
Les phrases du style ' je t'aime ' semblent fausses, dénuées de sincérité. Je ne suis qu'objet, et lui un utilisateur.
Et pourtant, j'ai envie de le lui dire. Lui dire qu'il n'est pas seul. Il est dos à moi, et serre le coussin dans ses bras.

Je me rhabille, range un peu la table du salon, inspecte une dernière fois les lieux. J'inspire la fumée, expire la cendre. Je sors.
Les escaliers sont troubles, troisième étage, je descends. Ouvre la porte, traverse. La lumière est éclatante. Je remets convenablement le col de ma veste, et me fonds dans la foule.

Encounter N :
A long drag. Il tire sur son joint, laisse la fumée prendre racine dans ses fibres. Je sens de la tension, nous ne nous connaissons pas.
Les hommes veulent toujours m'embrasser en premier. Et dès lors, je cède. Les intentions ne sont pas claires, mais dans ma tête, tout est logique, anticipé.
Je glisse contre son torse, pose ma main sur son coeur. Ecoute. Il m'embrasse encore, je lui demande "pourquoi". Il embrasse mal, mais il est doué de ses mains.
Nous joignons nos intersections, il me méprisait avant avec sa musique, avec ses jugements, avec notre différence d'âge. Nous sommes à présent synchronisé, pour un court moment. Il inspecte mon corps las, je ne regarde pas le sien. Du moins, pas encore. Les murs grésillent, je ne rêve pas.
J'aime la tension, car il est plus amusant de séduire que de sauter sur sa proie. Je le regarde. Je veux me souvenir de son visage. La texture de ses cheveux est si unique.
Un homme aux cheveux longs, androgyne, totalement dépassé par les conventions, il est sauvage, bestial, séduisant. Il ne laisse pas de marques ; il ne se défend pas. Je veux lui laisser des marques bleues, noires, violettes. Lui couper dans la chair, voir son sang, car c'est son métier et le mien.
Il sait parler, il connait sa valeur. J'admire son potentiel, son expérience. Nous nous sommes écrit des lettres.
Le lendemain, il me regarde et me dit que ça lui fait peur. Je l'embrasse.
Ses mains sont chaudes, et j'ai tant de questions à lui poser.

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The clock

Buckle sounds, clic-clic
He wears a watch on his wrist, tik-tik-tik
It echoes in my head, near my ear
As his eyes are watching me deep in my soul
His hands against my neck. I suffocate
As I beg for silence