WIP

WORK IN PROGRESS...

The me that is claimed to be known, The me that I claim to know, The me that I claim to be...
I tear my past with both hands, And I dig into the moist ground of tears, A tomb where I will bury flowers. So are you not afraid of who you are ? Your smiling teeth, Injure and slice the lack of confidence, And I see myself distorting it, In the movement of words rolling on my tongue, Who am I to speak ? I know nothing,
No one taught me to love myself.

Recycle bin

Kuroge6puff

RRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH

SCRAP HEAVEN 2005

J'ai besoin de temps je pense. Pour me foutre une mine, pour être vraiment dans un sale état pour qu'on puisse me ramasser sur un brancard, une alarme qui alerte les voisins qu'un type de leur immeuble s'est suicidé.
Il faut bien que je m'habitue, à perdre ce que j'aimais. À n'aimer que ce qui me tue.

- Kuroge

Kuroge sans Shirotan n'était que l'ombre d'une faible bougie qui pouvait s'éteindre à tout moment.
C'était un soir pluvieux, une soirée de merde, un samedi soir de mort. Kuroge chancelant au bord de la route, bouteille à la main, ayant perdu son portefeuille, ses clés, son sac.
Un putain sans un sou, un dégénéré à la recherche de n'importe quoi, de n'importe qui.
Ce soir-là, des pensées confuses, il s'assit sous sur les marches de l'arrière Église, cet immense édifice qui semblait élever des hurlements dans le vent.

私を知っていると主張される私
私が知っていると主張する私
私がなりたいと主張する私...
新しい仮面、気に入りましたか?

私は過去を両手で引き裂き
涙の湿った地面に穴を掘る
花を埋めるための墓。
だからあなたは自分自身を恐れないのですか?
あなたの歯の笑顔
自信のなさを傷つけ、切り裂く
そして、私はそれを歪ませている自分を見る
私の舌の上を転がる言葉の動きで
話す私は誰?
私は何も知らない
誰も私に自分を愛する方法を教えてくれませんでした。
-
"- Ce garçon possède une lueur au fond de ses yeux. Une lueur sinistre.
Comme un soleil sombre, une éclipse derrière des nuages, un hurlement sourd.
Il est vivant, conscient, il ressent les choses.
Lorsque quelqu'un de faible, physiquement et mentalement, semble s'écrouler, si ton âme ressent de la compassion, autrement dit, de la souffrance nous nous retrouvons dans le besoin de l'aider.
Parce que nous voulons protéger sa valeur, son essence. Parce que dans ses yeux, nous nous voyons comme dans un miroir creux, cette âme qui hurle en silence pour se faire délivrer. "

Chaque être humain a besoin de se sentir compris pour ne pas dérailler.
Mais chaque être n'a pas la chance de saisir l'opportunité à temps pour s'en sortir.
Certaines personnes sont profondément enfouies dans leurs schémas de pensées, de fonctionnement. Chaque procédé prend du temps. Il faut se montrer patient et ne pas abandonner lorsque ça se complexifie. Il existe des solutions à chaque problème, et rien de tout cela n'est facile, ni évident.

Kuroge portait constamment ses bandages aux bras. C'était pour lui comme un confort, une protection. Il ne se cachait pas forcément et ne niait pas ses blessures. Il disait que ces cicatrices avaient tendances à refroidir les prédateurs et que ça le protégeait. Il pouvait vivre avec, et il disait souvent qu'il ne voulait pas mourir sans cicatrices, et que le corps raconte des histoires que seuls les types de la morgue pouvaient déchiffrer une dernière fois. De ce fait il s'était tatoué ses films préférés sur la jambe droite et ses groupes de musiques favoris sur la gauche.
Se projeter après la mort, c'est quelque chose que seuls ceux qui vivent à la vitesse supérieure font réellement. Écrire un testament, choisir son cercueil, choisir sa propre mort. Il faut un certain courage et pouvoir décisif pour franchir ce pas.
L'instabilité émotionnelle d'un être vivant passe à travers toute son histoire vécue, une mauvaise santé, un mauvais accident, un mauvais coup peut être fatal à un corps fragile.
La mort touche tous les êtres vivants et le taux de survie des humains est égal à zéro.
Nous sommes certains d'y passer.

Je n'aurais jamais cru que cela se finirait comme ça.
-

Goutte par goutte, au fond des égouts.
Sa souffrance avait atteint son paroxysme, n'ayant plus la conscience claire, la destruction de ce monde injuste lui avait donné raison. Le monde est si sale, mauvais. Il n'existe pas d'espoir lorsque son corps est mourrant, défectueux.
Il avait souvent songé à en finir une bonne fois pour toute.

"Je me suis détruis comme j'ai tout détruit autour de moi."

Les médicaments dans son organisme, dissous dans sa salive, se fondaient dans son sang, rouge et blanchâtre. Parcourant ses veines, ses canaux sanguins le poison de la mort jusqu'à son coeur. Fatalité inévitable.

"Il n'y a pas de retour en arrière. Le temps est irréversible..."

Son esprit commençait à quitter son corps.

Sa philosophie de vie c'était qu'il pouvait mourir à tout instant.
La tragédie de sa vie, c'est qu'il ne mourrait pas.
Sa volonté de vivre le sidérait.
Il voulait détruire quelque chose de beau.

Cette distance insomniaque, cette liberté absolue. Cette puissance divine de s'endormir à jamais. Se laisser aller, cesser de lutter.
Mais on se bat, encore et encore parce qu'on sait qu'on va mourir.
Parce que ce n'est que dans la mort qu'on se souvient.

Le reste est voué au silence.
Le vent emporta les maux.


Bathing in agony. Covered in shame. These walls cave in. Only myself to blame. Pill after pill, I prepare myself for the morning ahead. My body folds, writhing in pain. No one is here for me. Bathing in agony. Covered in shame. I listen to the running water. It fills the bathtub slowly. I am trampled by thoughts. Weighed down by memories. I lay my head still, welcoming an infinite sleep. My sacrifice for you. An endless cycle of ache. Still conscious, I am paralyzed. Eyes wide open, staring aimlessly. Water begins to fill the floor. Rising slowly, so poetically. I begin to choke, this is what I crave. I am a masochist, in my blood I bathe. Drowning in my own self-hatred, I can feel my lungs as they begin to fail. Bathing in agony. Covered in shame. This burden of living never seems to end. As I lay my body and take the devil's hand. In this holy water. In this chamber of sin. Born into filth. I die alone. (...)
ADORE MUSIC IT TRANSCENDS ME INTO ANOTHER UNIVERSE FAR AND CLOSE TO REALITY;

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