COMM-B101Communication écrite en langue française 1
Partie théorique : principaux concepts liés à la communication écrite en langue française, aspects méthodologiques de la rédaction d'une synthèse de texte Partie pratique : activités d'identification et de corrections d'écarts et de faiblesses de style, révision des principales difficultés orthographiques, rédaction d'une synthèse de texte de presseÉcarts lexicaux : - néologisme - anglicisme (sémantique, lexicaux) - diatopisme (belgicismes) - mot altéré - impropriété lexicale par : paronymie et homonymie - lexicisme de genre Syntaxismes - Écarts syntaxiques (synonyme de solécisme): - Syllepse - Concerne les défauts d'accord grammaticaux de genre ou de nombre leur_son / elles / ses car / à la suite qu' / même s' / où / million / pour partager un ressenti / Leur « leur » est un pronom personnel lorsqu'il est placé devant un verbe dont il devient le complément d'objet indirect (à qui ? à quoi ? de qui ? de quoi ?). Dans ce cas, « leur » est invariable. ( à eux, à elle) peuvent être lexicalisées = autorisées dans la langue (ex:“une foule de gens”, “une multitude de cadeaux”) - Pléonasme - syntaxique ou lexical = redondance, répétition d'un même terme - Zeugme (syntaxique, grammatical de genre ou de nombre)- Association de deux éléments incompatibles syntaxiquement Association d'un même mot à 2 éléments incompatibles ex : "Les congés sont terminés et la sieste aussi" (zeugme grammatical de genre et de nombre ou syntaxique)->Les congés sont terminés et la sieste est terminée aussi ! "Il a posé et répondu aux questions" (zeugme syntaxique de nombre) -> Il a posé les questions et a répondu aux questions -> il y a répondu sont / au festival _ y / a été _ ont été / sont finis _ sont finies / il a posé (quoi ? = les questions) _ il a répondu (à quoi ? = aux questions) = y / avoir rassuré _ redonner confiance (z. syntaxique) - Anacoluthe - Rupture de construction, de syntaxe, "une direction, puis une autre", sujet ex : recevez -> je vous prie de recevoir Dans l'espoir de vous lire bientôt, (qui ? = pronom qui s'adresse = je) / Comptant sur ta visite, je (pronom qui compte sur la visite) / Après avoir frôlé la mort, elle (qui a frôlé la mort ? le sujet) ou sa vie / vlavlavla, il fut surpris - Confusion entre Discours Direct (DD) et Discours Indirect (DI) : ponctuation ex : Marie te demande ce que tu fais (DI) / Marie te demande : qu'est-ce que tu fais ?(DD) Veuillez (régime direct) nour fournir _ ou de nous (régime indirect) préparer votre - Veuillez faire quelque chose, et non, Veuillez de faire quelque chose - Anantapodonton : structure binaire (soit...soit) L'accord des nombres : Les nombres 20 et 100 prennent la marque du pluriel (se terminent par un s) quand ils sont multipliés et qu'ils terminent le nombre. L'accord du participe passé suivi d'un verbe à l'infinitif : A. Le sujet fait l'action indiquée par l'infinitif Si le sujet fait l'action indiquée par l'infinitif, le participe passé s'accorde. ex : Corinne, que j'ai observée coudre. -> C'est Corinne qui réalise l'action de coudre. -> On accorde donc le participe passé qui précède l'infinitif. B. Le sujet subit l'action indiquée par l'infinitif Si le sujet subit l'action indiquée par l'infinitif, le participe passé ne s'accorde pas. ex : La musique que j'ai entendu jouer. -> La musique est jouée, mais elle ne "joue" pas. -> La musique n'est pas le sujet du verbe jouer. -> Pas d'accord du participe passé qui le précède. L'accord du participe passé fait devant un INFINITIF : invariable L'accord du participe passé précédé de en : A. Si en est C.O.D. Si en est C.O.D., on considère alors qu'il n'a ni genre, ni nombre. Le participe passé qui le suit ne s'accorde pas. ex : Des bonbons ? Il en a mangé beaucoup ! / De ces bonbons, combien en avez-vous mangé? / De ces bonbons, j'en ai beaucoup mangé. B. Si en est C.O.I. (complément d'objet indirect) Si en est C.O.I., il peut alors êtresupprimé sans affecter le sens de la phrase. Le participe passé s'accorde. ex : Ce manteau a eu un grand succès commercial : les copies qu'on en a faites sont nombreuses. L'accord du participe passé des verbes coûter, valoir, vivre, peser, marcher, courir : A. Verbes intransitifs au sens propre Ces verbes ont la particularité d'être intransitifs (pas de complément d'objet) au sens propre, donc avec un participe passé invariable. Ils sont alors accompagnés de "que" : compléments circonstanciels, à ne pas confondre avec des C.O.D. ex : Les quatre mille euros que cette réparation m'a coûté. -> Combien m'a coûté la réparation ? La fortune que ces achats ont valu. -> Combien ont valu ces achats ? Les kilos que ce paquet a pesé. -> Combien de kilos a pesé ce paquet ? Les heures que j'ai couru. -> Combien d'heures...? Les quarante années que j'ai vécu. -> Combien d'années... ?TP
Pratique (présentiel) et théorique (mdamar.com) "Fautomaton", cours en ligne 11/09 18/09 02/10 16/10 30/10 13/11 Séances d'exercices + cahier d'ex ! Groupe 5 jeudi 14h-16h local DC2.223 semaine 1-6;8-14 Exercices notés Samedi 10h - 11h30 12/10 16/11 7/12 Devoirs à rendre sur l'UV Samedi 12/10 2/11 7/12
COMM-B120SEMIOLOGY Encyclopedic Dictionary of Semiotics (2010) Handbook of Semiotics (1990) ____________ Etude des signes et des interprétations Science des signes et des significations Table des matières : - Sémiotique et sémiologie - Concept de signe 1. La sémiologique de F. de Saussure : le signe linguistique - Unités dotées de significations Les trois caractéristiques du sine linguistique : binaire, arbitraire, linéaire. La langue comme système structuré de différences - Syntagme et paradigme Sémiologie générale __________ 2. La sémiologie structurale de R. Barthes - Dénotation et connotation - Fonction de relais et fonction d'ancrage Anayse de l'abbé Pierre : séparation entre l'humain et l'image (référent et message) L'habit projette un message significatif, c'est une construction 3. Analyse structurales : Le récit et le conte, selon Propp Le modèle actanciel, de Greimas Les catégories du récit Le carré sémiotique __ Méthodologie d'analyse de l'image fixe - Les composants sémiotiques de l'image fixe : signes :Approches sémiotiques en information et communication
L'objectif du cours est d'amener l'étudiant à maîtriser les principaux concepts et procédés d'analyse en sémiologie. Le cours vise à faire acquérir à l'étudiant une démarche analytique mobilisant les concepts abordés, appliquée à des dispositifs communicationnels variés. Il vise plus particulièrement à développer les capacités réflexives de l’étudiant au sujet des « signes » et de la « représentation » en général. Dans un premier temps, ce cours vise à familiariser l’étudiant aux fondements des deux principaux courants théoriques en sémiotique : le courant « de tradition saussurienne » (Ferdinand de Saussure, Roland Barthes, Greimas,...) et le courant « de tradition peircienne » (Charles S. Peirce, Umberto Eco,...). Dans un second temps, il propose une introduction à la sémiotique télévisuelle telle qu’elle est envisagée par François Jost. 1) Objectif théorique visant l’acquisition de concepts permettant de comprendre la construction de la signification des objets étudiés. 2) Objectif méthodologique portant sur l’acquisition de procédés d’analyse de base en sémiologie appliqués à l’image et aux productions médiatiques. 3) Objectif pratique visant l'application des notions et procédés d'analyse à des systèmes sémiotiques non vus au cours.iconiques (ou figuratifs) : motifs - thème - histoire ou allégorie, valeurs symboliques plastiques :- non spécifiques : couleur, éclairage, texture, ligne, forme. - spécifiques : support et format, cadre, cadrage, composition, angle et prise de vue. linguistiques : ancrage et relais, connotation, typographie, analyse du discoursLes figures de rhétorique du message visuel Grille d'analyse pour l'image fixe (p.59) __ Les deux problèmes de la sémiotique générale 1. La représentation - Le signe propositionnel - Caractère sélectif de la représentation - Caractère faillible de la représentation (objectif visé, vision du monde, médium, compétences techniques, codes stylistiques) - Le réel et le fictif (objet réel et objet fictif, les mondes fictifs) 2. L'interprétation - Les limites de l'interprétations - L'interprète modèle - Compétences encyclopédiques et lecteur modèle - Reconnaître les allusions __ La sémiotique télévisuelle - Genre d'émissions télévisuelles (monde réel, fictif, ludique, le ton des émissions) - Le mélange des genres (hybridité des émissions télévisuelles, cas de la télé-réalité) ________ Conclusion générale : Pour une perspective transdisciplinaire Pour une éthique sémiotique _________________________________________ Quelques définitons de mots : signe : chose, élément perceptible ou observable qui indique la probabilité d'existence (en médecine, manifestation ou symptôme d'une maladie. religion : péhnomène percu comme relevant d'une action divine) objet : représentation matérielle ayant par rapport naturel ou par convention une certaine valeur, ou signification dans un groupe donné. Toute chose concrète qui peut être perçue par les sens. objet sémiotique : représentation matérielle évoquant une valeur représentée et attribuée par un interprète. linguistique : unité constituée d'une partie physique, signifiante et d'une partie abstraite et conceptuelle qui est appelée le signifié. En sémiotique, un signe est quelque chose de perceptible qui, pour un interprète, renvoie à quelque chose d'autre. Perception Signifiant / valeur signifiante Interprétation Esprit / Interprète Fiction : Interprétation de signes dans un contexte imaginaire Indices : Faits perçus Signes interprétés : conventionnels et non-conventionnels / intentionnel et non-intentionnels Conventionnel : signe qui constitue dans nos moeurs et connaissances un symbole connu. Prédicat (dans une phrase : sujet + prédicat) Syntagme Paradigme Dénotation : ce que le signe nous communique explicitement, littérale, directe. Connotation : ce que le signe va nous indiquer, désigner par une caractéristique, indirecte, implicitement. ________________ Vocabulaire spécifique : Outil, Utilisation, Faculté/Capacité Unité distinctive et significative Dans l'étude linguistique il extique des règles : morphologiques, syntaxiques, pragmatiques(=adapté à la fonction, liée au contexte, règlementée et analysée)) Notion de collectivité, de sémantique reconnue, conventionnelle. Contingence arbitraire = accord, convention sociale. Référent (=objet du monde réel quel le mot doit être lié, ce à quoi renvoie une unité linguistique), domaine de la réalité Arbitraire : dont le sens peut varier selon des paramètres tels que la culture, zone géographique, époque Dissociation du signe : signifiant et signifié (notion binaire, arbitraire et linéaire) Linéaire : qui s'inscrit dans le temps et l'espace Signifiant : Ce qui est lié à ce qui est perceptible. Signifié : Ce qui est lié au concept, à l'idée associée. Sélection Association / Combinaison / Corrélation Attribution, signe approprié Processus logique : Combiner des unités Pertinence par le choix des mots (sélectionner un paradigme précis, par la syntagme la plus pertinente), ensemble des signes à notre disposition Cohérence Syntagme : ensemble des unités pertinentes sélectionnées. Système visuel Règle pragmatique (=adapté au contexte) Construction d'image par des choix = Projection d'un message significatif Séparation de l'humain et de l'image Expression vs contenu Ensemble qui vise à exprimer un message global Protocoles d'usages Moyen de segmenter différents systèmes Déterminer le type ___ Concepts sémiotiques : Les signes peuvent être indépendants du réel. Les signes peuvent être des éléments d'étude du futur. Le référent se rapporte au réel. Les unités distinctives vont former des unitées significatives qui vont former le sens. Le signifiant et signifié sont les deux élements qui forment le signe. Les idées peuvent être associées ou différenciées par une mise en opposition. Les signes ne sont donc pas isolés les uns des autres mais entretiennent entre eux des rapports à la fois associatifs et combinatoires, et la jonction de ces deux types de rapports concoure à former du sens. Ferdinand de Saussure (1857-1913) : linguiste suisse / syntagme & paradigme Roland Barthes (1915-1980): critique littéraire / dénotation & connotation Charles S. Peirce (1839-1914): logicien américain, philosophe du pragmatique / représentation & interprétation
LING-B110Rhétorique et Argumentation
Introduction à la rhétorique antique et aux différents courants argumentatifs contemporains. Travail à partir du cadre rhétorique aristotélicien et penseurs plus récents, travail et réflexion nourrie par un ensemble de discours analysés en cours. Se familiariser avec la rhétorique antique et ses principaux concepts théoriques ; Apprendre les bases de l'argumentation et se repérer dans le panorama actuel des études en argumentation et analyse du discours ; Savoir appréhender les discours présents dans la sphère publique.
TRAN-B105Grands courants de la littérature
Le cours propose un parcours historique et théorique comparé à travers les littératures française et étrangères. Il adopte, en fonction des années, un fil rouge qui peut porter sur une forme (roman, nouvelle, théâtre...), un mouvement (baroque, réalisme, modernisme…), un thème ou un concept (la mimèsis, la guerre, le lecteur…).
COMM-B105Initiation à la recherche bibliographique et documentaire
Notions de base de la recherche d’information (les sources d’information et leurs spécificités) ; les méthodes et les outils de recherche ; l’analyse critique et l’évaluation de l’information ; les méthodes pour intégrer l’information dans un travail personnel (citation, paraphrase, références bibliographiques, bibliographies, etc.) Compétences développées : savoir conceptualiser le besoin d’information ; chercher l’information en bibliothèque et sur Internet ; analyser l’information ; exploiter les différents types de sources en fonction de leurs spécificités ; intégrer et structurer l’information dans un travail écrit+ ref littérature grise,site internet, article scientifique disponible en ligne Evaluer l'information sur internet, fiches de lecture entrainement à l'examen : questions sur les sources et les recherches bibliographiques quizz Partie 1 : La recherche d'information et le travail documentaire Source : Origine d'une information, base de la sciencitivité, corpus - Documents : information matérialisée sur un support. Destiné à être diffusé et conservé. - Donnée : Information chiffrée, quantitativé Ressource : Base de données, catalogues et inventaires, portails d'édition scientifique Fondement de la véracité : journalisme : authenticité de l'information recherche scientifique : base de l'analyse Information générale : Ouvrage de référence (Encyclopédie, dictionnaire) Information pointue : Document scientifiques (Articles, monographies, littérature grise) ___________ Documents numériques : Nouvelles méthodes technoscientifiques Se différencie des techniques analogiques - Souces matérielles : analogiques, sur papier, produits avant l'ère informatiques - Sources numériques : - documentsnativement numériques (digital born) - documents numérisés : scannés ou converties Diversification des formats Modifiables : open-source, wiki, etc Intertextualité numérique (liens et hyperlinks) ___________ Les composantes de la recherche : Bibliographie (source secondaire) =+ Analyse / Problématisation += Corpus (sources primaires) Bibliographie se référencie dans l'appareil critique Base du discours scientifique, champs d'étude, arguments, cadre théorique, postulat, contexte Le besoin d'information : exprime la raison pour laquelle un individu cherche une information ("The proces of asking question") Le besoin d'information en vue de la connaissance et en vue de l'action _____________TRAVAUX PRATIQUES
"Dans le labyrinthe" Alexandre Serres, Séminaire de lecture Mardi groupe A 10h-12h
Fiche de lecture (+photo) prise de note et fiche sur UVTP : Références exercices encadrés Vendredi groupe 3 16h-18h
Théorie : Mercredi 16h-18h
NotionsLes ouvrages
-Ouvrages de références : encyclopédie, dictionnaires, manuels, atlas, sources statistiques, administratives Information de base, définir des axes de travail, utile pour se familiariser avec un sujet, identifier des mots-clés, trouver des renseignements pertinents à la recherche Lecture séquentielle (vs linéaire) Dictionnaire : Objet culturel qui présente le lexique d'une ou plusieurs langue sous fome alphabétique. Types : Dictionnaire linguistique, encyclopédie universette, dictionnaire/encyclopédie thématique, dictionnaire biographique. ___________ Encyclopédie: ἔγκυκλος παιδεία (énkyklos paideía) = « le cercle des connaissances », l’« enchaînement de connaissances » (« én » : dans ; « kyklos » : cercle, et « paideía » : éducation). Définition : Ouvrage qui rassemble toutes les connaissances humaines de la terre, dans tout domaine selon un ordre alphabétique ou thématique. _____ Wikipedia : Encyclopédie universelle, multilingue, collective, libre, vérifiable et améliorable « Le but d'une encyclopédie est de rassembler les connaissances éparses sur la surface de la terre ; d'en exposer le système général aux hommes avec qui nous vivons, et de le transmettre aux hommes qui viendront après nous; afin que les travaux des siècles passés n'aient pas été inutiles pour les siècles qui succèderont ; que nos neveux devenant plus instruits, deviennent en même temps plus vertueux et plus heureux ; et que nous ne mourions pas sans avoir bien mérité du genre humain. » (Diderot) Concepts / Définitions confiance dans l'esprit collaboratif Logiciel de la famille des CMS (Content Management System) Licence Copyleft Permet d'utiliser les données sous licence en conservant les droits d'auteurs, pourvu de citer de manière déontologique les sources. ________ Documents scientifiques : spécialisation, expertise : auteur spécialistes en la matière Evaluation par les pairs (peer review) Méthodologie : Analyse avec des outils spécifiques6 critères de scientificité : - Relu par les pairs - Appareil critique (notes et bibliographie) - Registre courant-soutenu - Vocabulaire spécifique - Problématisation : thèse, expérience, hypothèse - Objectivité, pas d'opinionEtat de l'art : permet à l'auteur de se positionner Il est indispensable de citer ses sources. _________ ____Partie 2 : Chercher l'information KBR (Bibliothèque royale de Belgique) Bibliothèque de la commission européene Catalogue collectifs : ressources en ligne, "méta-catalogues" Worldcat (base de donnée, pas d'accès à l'ouvrage) BE : unicat.be _____________ Google Scholar : moteur de recherche de documents scientifiques, contenus scientifiques Métadonnée : une donnée qui sert à décrire une autre donnée ChatGPT Gemini, IA google _____________ outils de recherche : Effectuer des recherches multilingues Equation de recherche (efficacité) : Traduire notre question en termes documentaires - mots-clés = termes issus du langage libre / langage naturel - descripteurs = termes du langage documentaire (indexation alphabétique) : technique, propre aux experts -Sujet de recherche -Déterminer les disciplines, champs de savoirs -Repérer des mots-clés / champs lexical Consulter des ouvrages de références pour établir l'énoncé de son sujet de recherche Traduire de façon claire et précise son sujet - Déterminer les champs du savoir en rapport avec : - Science politique - Sociologie - Economie - Psychologie Identifier les mots-clés, clarifier et assembler les thématiques Préciser sa recherche en combinant des mots-clés Appliquer l'évaluation de l'information de Serres : Crédibilité, autorité(s), qualité(s), pertinence(s) Autorité : crédit que l'on attribue à une personne. (cognitive, informationnelle)Autorité informationnelle énonciative : auteur Autorité informationnelle institutionnelle : éditeur, institution (ex: aca sciences humaines et sociales) Autorité informationnelle support : type de document Autorité informationnelle contenu : genre, vocabulaire, sources, appareil critiqueImportance de l'autorité informationnelle et ses 4 catégories! Crédibilité : caractère, qualité rendant quelque chose de susceptible d'être digne de confiance selon sa source, son message et le média 4 types :Crédibilité présumée : usager et ses représentations, point de vue, appriori, supposition Crédibilité réputée : la source (auteur, éditeur, institution) preuves documentées Crédibilité de surface : dispositif (paratexte) observable, note de bas de page, références, bibliographie Crédibilité d'expérience : usager et son expérience (subjectif : selon ton expérience, ce document est-il crédible ?)Qualité : relatif au sujet et à l'actualité des recherches du sujetIdentifiée et sourcée : auteur, source, appareil critique Fiable : présomption de véracité Originale : Apporte de la nouveauté Complète : précision et exactitude Fraîche/Récente : actualisée et mise à jour Utile : en vue de l'objectif de recherche Bien structurée : Bien rédigée, argumentéePertinence : Adéquation dun document ou d'un objet informationnel à la demande d'un individu donnéPertinence-système : est-ce que le document est pertinent pour le système ? (ex : pdf image ou txt) Pertinence-utilisateur : le document est-il adéquat pour l'utilisateur ? Pertinence-sujet : est-ce que le document est adéquat par rapport au sujet ?___________________________________________Opérateurs booléens : écrire en majuscule AND : intersection OR : addition de deux mots-clés NOT : (sauf) importance de l'ordre (ex : Jeunes NOT adulte Chat NOT animal Apple NOT fruit ^ resultat qui porte sur apple et pas sur le fruit Antivax NOT Covid ^ permet de s'informer sur Antivax sans le sujet du Covid) () : importance des parenthèses (ex : B AND (Belgique OR Belgium)) Jamais d'opérateurs différents sans parenthèse ! * : la troncature : supression partielle ou totale d'un terme ex : Exemple: Gestion de l’info* → information, infographie, … ? : le masque Me?er : meier, meyer Wom?n : woman, women journalis? : journalism , journalist feminis? : feminism, feminist “ ” : les guillemets, pour des expressions exactes ou un titre exact. Ou concept._____________ Le bruit et le silence Opérateur : AND and NOT (diminue le bruit) / synonymes, termes associés, langues, OR (diminue le silence) Le bruit correspond à des documents trouvés mais non pertinents pour la recherche. Le silence correspond à des documents non-trouvés et pertinents pour la recherche. ex : grand nombre, pertinent " sujet " AND (sujet OR sujet) ex : plus petit nombre sujet AND sujet Equation de recherche : Contextualiser le sujet Reformulation de la thématique du sujet Fragmentation du sujet Concept : (ex: habitudes de consommation : usage) (+tableau) _____________ Page rankParatexte
Appareil critique dans les articles scientifiques : notes de bas de page, notes entre parenthèses Sert a référencer les informations. Il peut se trouver en bas de page, à la fin d'un chapitre, du livre ou de l'article ou entre parenthèse. Dans la recherche en sciences sociales et humaines, pour tout travail académique, le paratexte est place de préférence en bas de page. Référence bibliographique : base de l'appareil critique Honnêteté intellectuelle, appronfondissement Système de référencement : infocom de sources Classement : par ordre alphabétique du nom de l'auteur, par types de documents Identification : permet d'évaluer l'informationParatexte auctorial : péritexte (intérieur) : nom de l'auteur, titre, préfaces éventuelles, appareil critique épitexte (éléments autour du document, extérieur) : annexes (autre volume), discours, interviews Paratexte éditorial : péritexte : couverture, jaquette, titre de la collection épitexte : reviews, publicité, catalogues de collectionOuvrage collectif et contribution : Titre : péritexte auctorial Inter-titre : péritexte auctorial Titre du chapitre : péritexte auctorial Nom de page : péritexte éditorial Couverture : Péritexte éditorial Références/ Bibliographie : péritexte auctorial Vidéo : titre interview : épitexte auctorial Tweet d'une photo commentée d'un ouvrage de référence : auteur d'un ouvrage pris en photo : épitexte auctorial Table des matières / sommaire d'un ouvrage collectif : péritexte auctorial Article de presse, de périodique d'intérêt général : titre : péritexte auctorial. Chapeau : péritexte éditorial ou auctorial (variable) Date : péritexte variablePéritexte : Ensemble des éléments qui complètent le texte de l'ouvrage Epitexte : Ensemble des éléments autour de l'ouvrage - Auctorial : dépend de l'auteur Editorial : choix de l'éditeuret al : mention qui signifie "et les autres". Si plus de 2 auteurs, il faut écrire 1 auteur et ajouter - et al. s.l : sans lieu s.d : sans date loc cit : réference identique id : idem. Même nom de l'auteur, mais document différent ibid : même document, mais les pages différentes. ex : ibid., p.58. op. cit : cité dans les pages précédentes. pp : plusieurs pages.sBibliographie : Classer les références par ordre alphabétique ou thématique ___________ Open Access ____________ ______ ______ /\__ _\ /\ == \ \/_/\ \/ \ \ _-/ \ \_\ \ \_\ \/_/ \/_/ Analyse littéraire : Etude sur le document scientifique ISBN : international book number ISSN : International Standard serie number Collection U : université PUF : Presse universitaire de France Britannica : Encyclopédie universelle CNRTL : Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales _______________ -Les ouvrages de références : encyclopédie, dictionnaire, atlas, manuels, syllabus (but didactique) -Les documents médiatiques : périodique d'intérêt général, article de presse, vulgarisation, reportage Différencier contenu et fond : site web, article sur une page web =/= arricle scientifique pour référencement : si site de périodique d'interet general : site d'actualités -Les documents scientifiques : Périodique scientifique. Contient des articles scientifiques. Monographie (livre, analyse scientifique portée sur un sujet. Rédigé par un chercheur, évalué par des pairs, s'adresse à un public initié) Littérature grise (thèse, mémoire) : document produit et protégés par la propriété intellectuelle, rapports, projets de recherches, enquêtes numériques, sans processus commercial. présence du terme "Promoteur" Ouvrages collectifs : dir, edited by. Article d'un ouvrage collectif = contribution "La science est accumulative."
COMM-B125La communication des organisations et institutions est un processus d'écoute et d'émission de messages et de signes à destination de publics particuliers qui visent à s'améliorer et à renforcer ses relations. - Organisation et le prisme d'identité de marque de Kapferer Exteriorisation et IntériorisationCommunication des organisations et institutions
Appréhender la communication dans le contexte des organisations et des institutions Comprendre les organisations et les institutions en termes de phénomènes communicationnels Acquérir les notions fondamentales de la communication organisationnelle et institutionnelle Comprendre des faits d’actualités, des études de cas et des exemples concrets Stimuler une réflexion critique concernant les évolutions contemporaines dans la vie des organisations et des institutions. 12 séances : La communication des organisations : définition, évolutions et enjeux Les théories de l’organisation : de la théorie classique à l’école des relations humaines Les théories de l’organisation : les approches modernes Les théories des effets des relations publiques et de la publicité La communication externe des organisations : de l’identité visuelle à la communication de marques Les autres outils de la communication externe La communication constitutive des organisations La communication comme constitutive des organisations : les discours organisationnels La communication organisationnelle et la construction d’une culture et d’un sens de soi Diversité et communication Les stratégies de communication en dehors d’un contexte commercial : les ONG et la communication institutionnelle L’impact de la communication organisationnelle sur l’espace publicPhysique, Relation, Reflet Personnalité, Culture, MentalisationEmetteur et Destinataire - La culture de l'entreprise : Réalité interne, ressenti Composante de l'idée de l'image - Processus : Suite d'opérations en vue d'atteindre des objectifs À l'écoute du public, écoute et connaissance de son auditoire Emission de messages et de signes à travers les médias/supports -> Point de contact Véhiculisation de messages = communication Stratégies Techniques sensorielles : ambiance, favorisation des sens - Publics Viser des publics particuliers Communication à ses employés Relais d'opinions Société civile (concernée par l'activité) Des organisations vont s'adapter à la société civile et développer des valeurs éthiques et environnementales. Théorie des parties prenantes (Edward Freeman, 1984) -> RSE : Responsabilité sociétale des entreprises Intérêt actionnarial, économique et sociale Label : certification reconnue. ______________ Stratégie qui induit le public en erreur : Greenwashing : technique qui sert à instrumentaliser ses sujets pour se rendre éco-responsable, prise d'engagement sans stratégie viable, pas de justification ni d'impact réel sur l'environnement Socialwashing : stratégie dont les promesses ne sont pas tenues, vante une fausse responsabilité. ______________ L'image : Ensemble des représentations et perceptions que l'individu va avoir de l'organisation.Image voulue : Intention volontaire Image vraie : Vérité mise en place par l'organisation, signes manifestés Image perçue : Inerprétation par le public = réputationL'objectif d'une organisation est de réduire l'écart entre l'image voulue et celle perçue. L'image a la capacité d'évoluer et de changer, elle est complexe et flexible. Associée à la marque. Signes distinctifs qui permet de l'identifier. - Les relations : Liens, rapports avec le public Le but d'une entreprise est de construire et renforcer les liens en s'intéressant aux activités, aux valeurs et intérêts. _______________ Communication & OrganisationInterne et externe : Positionner l'organisation par la communication interne Professionalisme dans la communication : Développement de métiers dans la communication (compétences techniques spéficiques) Juridication du métier : Lois et contraintes réglementaires (ex : tabac et santé)Enjeux contemporains : Responsabilité sociale : éthique, économie, développement durable Finance : notion d'argent, bourse Parole du dirigeant : figure publique, orateur, patron/boss La communication corporate : communique sur ses valeurs, sa mision, identité. L'entreprise va vendre ses valeurs. Dispositifs d'une hétérogénéité/diversités croissantes : supports numériques, nouvelles technologies et outils Le numérique devient un des moyens de communication le plus efficace. ________________ Confiance et crise de confiance : Méfiance du public - Excès de la mondialisation - Développement de la pensée critique - Multiplications d'affaires, de scandales -> Perte de crédibilité du communiquant de l'organisation ______ Communication de proximité par des points de contacts plus proches, locaux. Humaniser les messages. Sentiment de connivence (=entente, accord tacite partagé) La confidence et le discours sur la relation renforce le sentiment de proximité.
TRAN-B100┏┓┓ •┓ ┓ • ┃┃┣┓┓┃┏┓┏┏┓┏┓┣┓┓┏┓ ┣┛┛┗┗┗┗┛┛┗┛┣┛┛┗┗┗┻ ┛ ANTIQUITÉ Rhétorique & Dialectique Platon : le dialogue entre Socrate et Gorgias Pourquoi le dialogue ? Ce genre de développement permet d'interroger et de répondre,ce mouvement engendre le questionnement sur la pensée. Le modèle Platonicien est un genre philosophique de l'Antiquité, qui perpétue les mémoire de personnalités existantes en poursuivant les idées par l'écrit. Il prolonge et questionne l'enseignement de Socrate, philosophe de l'oralité, ce dernier interrogeant le peuple de son environnement et les confrontant à leur ignorance.Histoire de la philosophie
Philosophie ancienne, philosophie médiévale, philosophie moderne et philosophie contemporaine.Socrate est un personnage historique. "Qu'est-ce que", est la question philosophique par excellence qui vise à interroger l'essence Se questionne sur les concepts, réfutant les arguments en observant les oppositions et incohérences de son interlocuteur. Il est considéré comme non-conformiste, potentiellement "dangereux" par la cité. Il attire l'attention et corrompt les pensées en manifestant et revendiquant le génie. Il est condamné à mort en -399.Gorgias est un personnage historique. Sophistique (terme à connotation. D'origine grecque : sophos, sophistè - savant, toute personne détenant un savoir ) Orateur rhétorique, vise à persuader, maîtrise son discours pour pouvoir se défendre : art de la parole pour but pratique, effet, instrument de persuasion. Défend des causes impossibles (éloge d'Hélène, Traité du non-être), controverse de l'éducation, puissance du logos (=discours absolu)Dialogue de réfutation : méthode réfutative "Savoir qu'on ne sait rien, est mieux que croire qu'on ne sait pas." La double ignorance socratique. "La vérité ne peut se contredire = cohérence (=logique interne d'un discours, rapport étroit d'idées qui s'accordent entre elles, absence de contradictions) Etapes de raisonnement : Il y a incohérence quand il y a contradiction entre la parole et la pensée. Débat entre la dialectique et la rhétorique pour arriver au " bien " philosophique (= Ce dont la possession nous rend heureux) Dialectique : art de dialoguer, se confronte dans la pratique / Rhétorique = Production du discours, Conviction = Certitude fondée sur des preuves évidentes Tout artisan est convaincu que son art est nécessaire, voir le "meilleur". Exemples de rapports : Analogie = égalité géométrique = identité de rapport = pratique transposable ___ Méthode de rassemblement et de division : Quelle est la spécificité de la rhétorique ? "Production de discours" En quoi cela se distingue-t-il des autres arts qui utilisent le discours ? "La rhétorique utilise le discours comme seul et unique instrument." Confrontation précise sur le genre : Prétend le meilleur pour l'homme Caractéristiques : Pouvoir convraincre = conviction La rhétorique en rapport avec le bien, la vertu. Idée de liberté Elle se rapporte à la justice et l'injustice. Clarifier la pensée Qu'est-ce que la rhétorique ? Analyse de la définition. Est-ce que la rhétorique est bien ? Analyse de la valeur. Poursuite de la vérité. (bien =/= plaisir) Croyance et Savoir Vraisemblable et Vérité PDF Précision et exactitude _____________ partie 2 : Philosophie médievale : Les consolations de la Philosophie, Boèce La "Dame philosophie" Chasse les muses et les passions de la poésie pour venir en aide au prisonnier condamné à mort. Par l'écriture de l'auteur réellement condamné, il va mettre en scène un dialogue entre lui et la philosophie. De nombreux thématiques sont abordées telles que la léthargie, la passion comme maladie de l'âme, la philosophie, la citadelle/forteresse intérieure, la raison, la sagesse, la vertu, l'instabilité de la fortune, l'injustice, l'ordre cosmique et le désordre humain, le bonheur, l'intériorisation, conversion, maîtrise, remèdes, (... wip) _ La Philosophie personnifiée : (+ voir notes de cours) _ Lien avec les concepts de Platon (l'oubli, La réminiscence) Réminiscence : les larmes, Retour à l'esprit d'un souvenir Léthargie : Sommeil profond et prolongé dans lequel les fonctions de la vie semblent suspendues. Maladie de l'âme commune aux esprits égarés dans les illusions (du désespoir), aveuglement La maladie de l'âme La médecine de l'âme : Philosophie Analogie avec ce schéma qui vient de l'ouvrage Gorgias de Platon Santé de l'âme : ataxie : absence de troubles Sagesse comme antonyme de passion La lumière, la raison qui chasse les ténèbres des passions La fortune et l'injustice : la sagesse se réveille en prison avec Boèce, celle-ci est elle considérée comme un échec, un trouble pour la société ? Prison = contrainte Car elle est celle qui a envoyé d'autres théoriciens philosophe à la mort. La cause de leur malheur est d'avoir tenté d'éveiller les âmes par la sagesse en remettant en question les passions dans les esprits. La sagesse se trouve là pour faire émerger la peine du Désastre et ignorance Dans un discours panégyrique (de louange), il plaidoie son cas il informe qu'il a suivi un enseignement théorique mais également discursif avec d'autres philosophes afin de prévenir et d'éloigner la tyrannie dans la Cité. Il y consacre sa vie. ___ La citadelle ou bibliothèque intérieure : illustre les savoirs acquéris : la connaissance que s'est approprié l'esprit Le désordre apparent du monde et la domination de l'injuste : principe ordonnateur gouvernant le monde ___ Structure tripartite du poème : Évocation du divin Énumération des attributs du divin Demande personnelle - approfondissement spirituel (intériorisation) - appel à la transcendance Tension entre Ordre cosmique (ordre et justice) et la vie humaine (désordre et injustice) ___ Les sentiments et la philosophie : La philosophie est en quête de la vérité et non des émotions. Dans le cas de Boèce, son emprisonnement est dû l'erreur d'appréciation de la justice divine. Sa tristesse est une passion qui a pour cause une fausse représentation de la réalité. L'homme est libre de penser et de raisonnement, de rendre justice à la philosophie intérieure. ___ La forteresse intérieure de la vertu : La bibliothèque intérieure est ce qui représente la valeur offertenpar les livres et non la possession matérielle. Aucune contrainte extérieure ne peut altérer ce que l'esprit construit et forge intérieurement, il est un refuge de vertuosité pour le philosophe (qui le protège également des passions). ____ Les saisons et le monde régit par l'ordre. ____ La philosophie et les erreurs de présentation : Le hasard ou la raison ? L'homme mortel est égal aux Dieux par la raison. Le prisonnier oublie ce qu'il est lui-même, ce que le monde est et les instruments qui l'entoure. Son erreur est de penser que : Il croit que la fortune régit le monde, que l'injustice et les tyrans sont heureux et qu'il a perdu ses biens et possessions. (Or, l'inverse est que la raison, la vertu et la vérité amène l'ordre et rythment l'existence du philosophe) (+ Vers d'idéal d'impassivité stoïcien) __________ __________ __________ Le Bonheur La question du bonheur, du vrai bonheur et non les biens éphèmères La nature du bien : la définition du bien : dimension psychologique (désir ancré dans l'âme humaine) et morale. Démarche philosophique 1ère approche : le remède "doux" : usage de la rhétorique, intérêt au sujet personnel (registre de l'opinion, écoute pour guider vers l'universel (registre de la vérité) Remise en question de opinion et de la nature de la Fortune (=apport versatile, parfois hasardeux et provisoire) Considérer la préciosité du bonheur Distinguer entre faux biens et vrai bien : - Impermanance / Permanent - Exteriorité / Intériorité Lien entre bien et bonheur : Le bonheur se définit dans le livre II en rapport avec la nature des biens qui l’accomplissent. A des biens faux correspond un faux bonheur, à de vrais biens correspond le vrai bonheur Le bonheur définit en fonction de l'usage ____ La fortune, les possessions et l'avidité humaine : Boèce se lamante d'avoir perdu ses biens, mais ceux-ci ne'étaient pas ses propres biens car chaque être humain nait sans possessions. L'homme a le seul usufruit des biens concédés par la Fortune Il est donc incohérent de se plaindre de predre des biens dont nous ne sommes pas propriétaires Les hommes se plaignent en raison de leur avidité insatiable. "rien ne semble jamais acquis" - "Si l'on se plaint d'avoir perdu quelque chose, cela veut dire qu'on a été heureux de le recevoir." Les biens sont temporaires. et les peines sont temporaires aussi. La mort est la finalité et la fin des peines. Inconstance de la fortune : celle-ci ne fait pas qu’ôter ce qu’elle a précédemment donné ; elle efface également les peines (la roue ne cesse de tourner) et la mort est sa disparition. _______ Instabilité, impermanence, loi éternelle. Stabilité, permanence, le "vrai" bien _______ Insatiabilité : le manque est la preuve que les biens de la Fortune ne comblent pas véritablement les hommes. Soit l'homme manque toujours de ce qu'il n'a pas encore Soit l'homme est inquiet de perdre ce qu'il possède ("La condition du bonheur des hommes est source d'inquiétude") - inquiétude = âme avertie Sentiment de manque et d'inquiétude sont le fruit d'un mauvais jugement. Au contraire, celui qui a compris peut être heureux dans n'importe quelle circonstance d'une "égalité d'âme", "d'indifférence consciente". L'exil ou la patrie dans le cas de Boèce ne sont qu'affaire de représentation d'un lieu dont il se sent attaché. La prise de conscience de l'état de "l'âme égale" lui permet de comprendre que ses biens éphèmeres n'ont pas de réelle valeur vertueuse intérieure. Cependant, il n'y a pas moyen d'échapper à la nature instable et changeante de la Fortune. Celui qui se laisse entraîner est ignorant. (Dans quelle mesure peut-on estimer heureux celui qui est ignorant ?) (Si le sujet possède un bien dont la perte est négligeable, alors en quoi s'estime-il être heureux de posséder un bien négligeable ?) ___ Le seul bonheur que nul ne peut ôter est la maîtrise de soi-même. Reporter des biens extérieurs vers les biens intérieurs. Le mouvement d'intériorisation, cette voie vers le bonheur est celle de la conversion. maîtrise des passions (remèdes puissant : Livre II, prose 5) Mots de liaisons, qualité et précision des mots-clés, vocabulaire technique : Vocabulaire : Cohérence (=Logique interne d'un discours, rapport étroit d'idées qui s'accordent entre elles, absence de contradictions) Conviction (=Certitude fondée sur des preuves évidentes) Genre (=terme général qui regroupe les espèces)
TRAN-B115Notions générales d'histoire de l'art
Grandes notions d'histoire de l'art de l'Antiquité au XXe siècle
HIST-B130___ ___ .___ ____________________________ _______________.___. / | \| |/ _____/\__ ___/\_____ \\______ \__ | | / ~ \ |\_____ \ | | / | \| _// | | \ Y / |/ \ | | / | \ | \\____ | \___|_ /|___/_______ / |____| \_______ /____|_ // ______| \/ \/ \/ \/ \/ - Importance de la contextualisation spatio-temporelle (période étudiée, date) - Définition du concept avancé (par un auteur, définition du terme) : principes - Enjeux systématiques (politique, économique et social) - Processus et développement - Utilisation (communication) - Circulation - Public visé (classes sociales) - Exemple d'usage Vocabulaire spécifique de la communication dans l'histoire moderne et contemporaine : - périodisation, continuité, discontinuité/rupture, information vs ignorance, facteurs, vecteurs, idéologies/canoniques, perspectives, action, collectivité, iconoclasme, dissocier/associer, réseau, culture, media/medium, diffusion, sphère publique, propagande _______________________________________ Périodisation : Moyen Âge > Renaissance La communication dans l'histoire. communicatio : (latin), action de partager, de transmettre des idées outils : moyens qui permettent la communication, voies qui permettent les relations dimension matérielle medium : moyen, vecteur de communication support matériel Voie de communications : voies naturelles, lien entre flux (d'information et commerciaux) - Au 15e et 16e siècle, conscience des voies de communication, routes et conquêtes par les rois en déplacement et développement d'ordre, de capitales, de provinces etc. Epoque de centralisation des états. (ex : Charles Quint conquit un vaste territoire par ses voyages. Son fils, à l'inverse (discontinuité historique) procède à une démarque différente et est sédentaire.) Mise en place du système postal (Tour & Taxis, à Bruxelles), ce qui permet la régularité dans la communication. (cor postal : symbole) Moyens de communication de l'époque : oral : la parole directe, prédications, instructions, conversations écrit : manuscrite et imprimée, correspondances, parchemins (peau de mouton tannée) visuel : dû aux nombreux cas d'analphabétisme, iconographie, peinture, ou document iconotexte multimédia : rituels, spectacles, architectures Censure : Les institutions religieuses s'inquiètent des diffusions non-contrôlées et vont instaurer la censure pour empêcher le savoir de détourner les fidèles de leur organisation. (ex : liste index prohibitorium) Tentatives de répression, critiques et polémiques. Production et réception : échanges dans la communication. La production est celui qui transmet. La réception est celui qui reçoit. ________ La révolution de l'imprimerie (E. Eisenstein) Au 13ème siècle, l'écriture manuscrite permettait la conservation et la diffusion du savoir, celle-ci gravée avec de l'encre et une plume sur des parchemins en peau de mouton tannée, cette technique étant particulièrement coûteuse, plus tard, le papier fait son apparition et permet alors l'accès à l'art de l'écrit à une plus grande échelle. L'encre provenait de l'orient. C'est un orfèvre allemand qui utilise la première technique d'impression par typographie et permet la découverte de s'expandre dans des ateliers en 1456, l'imprimé connaît alors une importante influence et les premiers livres prennent alors vie (il s'agit d'ouvrages religeux) L'automatisation et la technique de l'imprimé se distingue de la technique manuscrite. Xylographie : gravure sur bois permettant de multiplier les images. Conséquences du passage manuscrit à celui de l'imprimé : - Rapidité de duplication : Possibilité de corriger le texte, caractères mobiles et réutilisables - Réduction du coût de production - Permet la diffusion à plus grande échelle - Réduction des moines copistes traditionnels (perdent leur fonction utile) Révolution de la communication écrite au sein de la communauté du savoir : Les humanistes bénéficient de cette technique et permet l'émergence du savoir. Les effets marquent tous les secteurs de la vie intellectuelle. Constat de E. Eisenstein : pour la société occidentale, l'imprimerie représente un changement radical pamphlet, propagande Le règle de Louis 14e et la communication de la presse périodique contrôlée par la monarchie absolue Humanisme par les concepts de développement (sciences et arts, économie) Révolution industrielle Révolution française 1789 Assemblée et sphère publique (popularisation de l'information) Partis politiques : Libéraux (classe bourgeois, marchands) idéologie de liberté individuelle (capital, territoire) = suffrage censitaire Socialisme (classe des prolétaires : ouvriers et masse populaire) = suffrage universel Nationalisme Colonialisme européen et violencesIntroduction à l'histoire moderne et contemporaine
Par une approche chronologique et thématique à la fois, le cours propose un cadre d'ensemble et un approfondissement des notions essentielles et des interprétations de l'histoire moderne et contemporaine, de la fin du XVe siècle à nos jours. Le cours abordera les grands courants politiques, sociaux et culturels qui traversent l'époque moderne et contemporaine, dans une perspective européenne et transnationale, en suivant comme fil rouge la question, plurielle et transversale, de la communication. Donner des repères essentiels sur les grands courants, les concepts et les interprétations de l'histoire moderne et contemporaine Donner une profondeur historique à l'étude de la communication Étudier l'historiographie en tant que dispositif discursif Compétences visées Savoir situer les problèmes dans leur contexte historique Percevoir les transformations, les continuités et les ruptures Savoir dégager les rapports d'interdépendance entre changements politiques, économiques, sociaux et formes de communication Savoir s'interroger sur la démarche historienne, en étant conscient de la pluralité des lectures et des interprétationsSphère publique, J. Habermas (Asa BRIGGS, Peter BURKE, A social history of the media : from Gutenberg to the Internet, Cambridge (UK) – Malden (MA), USA, Polity, 2005, pp. 61-87)
La révolution de l'imprimé en Europe : Communication dans un empire par la technique écrite, visuelle, orale, dans un langage vernaculaire, par multimédia, avec la censure... La sphère publique est un concept qui s'inscrit dans le 18ème siècle, - par la production conséquente de supports médiatiques écrits et du développement de lieux, - d'espaces publics qui rassemblent le peuple. La discussion émerge de ces installations et permettent l'échange d'opinions. - Les médias sont des éléments constitutifs de cette évolution, ce sont des vecteurs qui permettent la circulation d'information - touchant principalement les classes sociales lettrées, les bourgeois et les masses populaires. J. Habermas insiste sur le caractère public, et le contre-poids des pouvoirs. D'autres chercheurs vont étudier, observer et examiner la façon dont les différents médias contribuent à l'espace public et distinguent deux catégories : l'espace public temporaire et permanent. Qui sont des concepts descriptifs et analytiques. Pour qu'il y ai - sphère publique : Révolution de l'imprimé > Population informée > Informations qui circule > Médias créés et utilisés pour la diffusion (pouvoir et influence des médias) > Public et fondements d'opinions > Démocratie et critique du pouvoirMunitions of the Mind : A history of propaganda (...), P. TAYLOR, 2003.
_________ Objectif R : session Le mot et le concept : La Propagande Le terme de propagande avant comme définition - moralement neutre au 17ème siècle, avec la propagation de la bonne parole religieuse et la Révolution française de 1789, en manifestant des idées de libération des peuples. - Puis, le terme de propagande est entré dans la sphère politique et s'est chargé de connotation péjorative dû aux circonstances des situations divergentes. - Avec la première guerre mondiale de 1914-1918, (voir cours) et la Seconde guerre mondiale de 1940-1945, le terme de propagande est réellement devenu un terme problématique car le discours de la communication persuasive à influencé les mouvements à la violence et à la guerre. - En effet, le concept de propagande, d'après la définition de Taylor qui est, un élement de persuasion intentionnelle et volontaire d'un individu ou d'un groupe de personnes, utilisant tous les supports et moyens disponibles dans un but de profit, bénéfice ou d'intérêt personnel de la source qui communique la propagande. Pour qu'il y ai - propagande : Origine de la propagande (histoire de la propagande : prop. religieuse, prop de la révolution française > prop. politique des guerres) > Volonté intentionnelle de persuader > Utilise les informations et médias > Influence un individu ou un peuple > Bénéfices et profit au but d'intérêt de la source de propagationPropaganda, Psychological Warfare and Persuasion
Collective capacity to make out our minds about what is happening in the world around us Propaganda as a negative connotation : "lies" run by passions and emotions - impulsive, engaging the truth Propagation : Scientists and botanists use this word with reference to plants, about propagating germs and germ cultures. Social scientists related this word to a process for the sowing, germination and cultivation ideas. The problem is that human beings frequently inject morality into processes. The gourvernment prefers to lis by omission, not by commission. The ideolologies brought during the Second war (1940-1945) with propaganda was disatrous by reenforce their own arguments. The attemps of persuade the unconverted with the message of converted is also called as propaganda. "Agitation" War and propaganda have always been inextricably connected. Propaganda has proved to be a weapon of no less significance than swords or guns or bombs. And it does not itself kill people. Indeed it can be an alternative to killing, the triumph of communication over violence. But words alone rarely win the wars. The munitions of the mind, like other conventional weapons have admittedly become more sophisticated with advances in technology (...) painting, films. Employed in the service of(...), it encourages people (...) Propaganda is about persuading people to do things which benefits those doing the persuading, either directly of indirectly. (...) it serves an essential role Propaganda can be used for "good purposes", just as it can be abused. In the 20th century appears to be largelu a history of abuse (...) by propaganda i mean the deliberate attempt to persuade people to think and behave in a desired way. Adveritising (...) economic propaganda since the marketing of a product (...) manufacturer's profits. Communication media with a view to persuasion (...) ; private conversation, mass rally, in a church or a cinema, battlefield... It can manifest itself in the form of a statue or a building, a coin a painting, a flag, etc. Speech, sermons, songs, art, pictures... Communication though essential to the process, does not itself provide is with an adequate conceptual starting point. Communication is important for education of advertising. The question of intent intentions. Propaganda uses communication to convey a message, an idea, or an ideology - that is designed primarly to serve the self-interests of the person of people (...) Success of propagands needs to be measured against the intention behind the process. (...) Psychological operations have become genuine alternatives to war (...) We do need constantly to bear in mind why we as indivuals believe what we do.(...) Consumers of the mass media flow of information Tell the whole truth Manipulation of opinion Censorship operations : control of information and morales Protecting their own interests Communication revolutions Arrival of instantaneous mediums (...) Control of information at source Information retains its capacity to shape perception Now, in an age that is witnessing massive explosion of informations and digital data, how freely does that information flow ? Are we being told everything ? What are not being told and why ? Is the information on which we base our opinions and perceptions of the world around us free from the influence of - history / propaganda ? It that to our benefit and advantage ? "Words are more powerful than munitions." - A. CamusWar and the Commmunications Revolution (pp. 173 - 178)
198-213The Bolchevik Revolution and the War of Ideologies 1917-39 (pp.198-213)
BBC : British Broadcasting (diffusion) Corporation PWE : Political Warfare Executive "white propaganda" SOE : Special Operations ExecutivePropaganda, Cold War and the Advent of the Television Age (pp.249 - 253)
SOCA-D172Introduction à la sociologie
Partie 1 : Qu'est-ce que la sociologie ? Connaissance scientifique, Phénomènes sociaux (actions sociales, faits sociaux et articulations), Méthode en sociologie. Partie 2 : Les fondation de la sociologie. Contexte historique d'émergence de la sociologie. Quelques grands auteurs fondateurs : A. Comte, H Spencer, E. Durkheim, K. Marx, M. Weber. Partie 3 : Quelques questions sociologiques : définitions de concepts et mobilisation pour aborder des enjeux contemporains. 1) Comment tient le social ? Notions de rapports sociaux, groupes, organisations. Auteurs : Dupréel, Tönnies, Cooley, Bolle de Bal, Maffesoli. Enjeux actuels : fermeture communautaire, le cas des gated communities vs. ouverture communautaire, le cas des communaux collaboratifs (Rifkin) 2) Sommes-nous tous égaux ? Notions de rôles, statuts, stratification sociale et mobilité sociale. Auteurs : Vranken, Castel, Sorokin, Bourdieu, Boudon. Enjeux : les chiffres des inégalités et de la pauvreté en Belgique et discussion Stiglitz 3) Comment promouvoir le changement ? Notions relatives à l'action sociale. Auteurs : Dahrendorf, Thompson, Olson, Obershall. 4) C'est quoi être normal ? Notions de norme et de déviance (déficit de socialisation / Merton et le paradigme fonctionnaliste / l'école de Chicago, Park et Mc Kenzie, Thmoas et Znaniecki, Warner / Becker et Goffman, le paradigme interactionniste).
COMM-B115Tests d'actualités : 4 semaines / 6 tests sur l'année obligatoire (ou justifier à gabrielle.ramain@ulb.be attestation) rtbf.be Culture générale/Tests d'actualités Test en ligne 14 octobre 18h (12/20) 15 novembre 18h 17 décembre 9h Si mauvais résultat : Permanences via Teams (liste de thématiques) uv.ulb.be Organisation Elements de culture Secteurs économiques Grands moments d'histoire de Belgique ... Stratégie pour maîtriser : tous les jours regarder l'actualité Écouter le journal du jour Titres Sujets importants (événement signifiant / anecdotique) Suivi régulier Octobre : élections communales (Europe/US) Identifier dans les médias Question de Culture générale : noter les réponses !! Droits & Devoirs du journaliste (charte de Munich 1971) Eviter d'intégrer des adverbes et rester sur un point de vue objectif Neutralité du langage Vérification des sources et des faits Peer Review (Evaluation de l'article documentaire par des pairs) Déontologie du journalismeAnalyse critique des médias (+tests d'actualité)
L’objectif de ce cours est de favoriser l’initiation des étudiants au milieu journalistique, au monde de l’information et des pratiques éditoriales (audiovisuelles, imprimées et en ligne). Conçu comme un cours ex-cathedra, il repose sur une présentation théorique et pratique (à partir d’études de cas analysées, avec les étudiants, en cours) des enjeux du journalisme contemporain au prisme de son évolution, de ces dernières décennies. L’étudiant devra être capable à la fin du cours de décrypter les processus de construction d’une information, les contraintes qui pèsent sur la pratique journalistique et d’analyser les pratiques des professionnels de l’information, afin de mieux se situer dans le monde communicationnel contemporain, de comprendre les logiques de production de l’information qui l’entourent et de pouvoir analyser les enjeux de sa consommation médiatique.
Brieveté Incarner Méthode Définir Distinguer Crédible Fiable (est objectivement observée) Confiance (=Reconnaissance réciproques entre personnes, subjectivement construite) Pertinence (=Qualité de ce qui est approprié à son objet, relation entre hypothèse et son contexte) Concevoir Production Equilibre Prolixe (=Qui est trop long, qui a tendance à délayer dans ses écrits ou ses discours.) Laconisme (=Manière de s'exprimer en peu de mots.) Cohérence (=Logique interne d'un discours, rapport étroit d'idées qui s'accordent entre elles, absence de contradictions) Conviction (=Certitude fondée sur des preuves évidentes) Genre (=terme général qui regroupe les espèces) Connivence (=entente, accord tacite partagé) Tacite (=Non exprimé, sous-entendu entre plusieurs personnes) Contingence (=caractère de ce qui est variable, qui dépend de son contexte et autres facteurs) Monolithisme (=Interprétation où l'idée de progrès est remise en question par ces nuances) Périodisation (=segmentation en tranche de la ligne du temps de l'histoire et des évènements marquants selon la culture la période dans laquelle le concept est étudié, moments symboliques et pertinents (varie selon chaque culture et périodes) Iconotexte = doument composé de textes et d'images (manga, bandes dessinées) Répression = rejet volontaire. Du latin, "refouler, réprimer, contenir". Action de réprimer un acte prohibé ou jugé néfaste à une époque et dans une société données ; ensemble des mesures prises à cette fin. Réprimer = Empêchement d'un sentiment de se développer, de s'exprimer, de se manifester.
TO DO : print references WRITE SYNTHESES rendre devoir samedi 10h comm écrite 2 novembre ! Pour synthèses : mettre en bold les éléments à retenir COMM B-105 Ini biblio bibliothèques :jstor, ebsco etc.. catalogues bruit et silence : définition open access : voies line 180 : references de sources sur internet