Knives & Scars

Chapter 6 : Là-haut

Lorsque nous sommes arrivés au dernier étage de cet immeuble, le vent soufflait par rafales. Le soleil s'éveillait à l'horizon.

~~~

Arrivés devant un bâtiment abandonné, une grille entourait l'entrée. Ils sont passés au dessus, Kuroge d'un balancement de jambe et Shirotan avec l'aide d'une poignée ferme.
Le sol était couvert de gravier, de plâtre de chantier, de palettes de bois qui ne semblaient pas avoir été déplacées depuis des années.
D'impressionnants échafaudages en acier se chevauchaient formant un schéma d'échelle stable et possiblement empruntable, longeant toute la hauteur du bâtiment.
"- Tu veux monter là-haut ?" demanda Shirotan
"- C'est le plan." dit-il en regardant la hauteur du bâtiment.
Cent-soixante et un, virgule, cinq mètres de hauteur. Si un humain tombait du cinquième étage, la gravité et le choc de sa masse seraient nettement suffisants pour faire cesser le fonctionnement de l'organe du coeur. Le système s'arrêterait brusquement au contact du sol. Laissant derrière lui l'éclat d'une vie prise au dépourvu.
Le coeur de Shirotan battait à tout allure. Il n'y avait aucune raison qui l'arrêtait sur le fait de grimper au sommet de ce bâtiment.

"- Juste pour voir alors." dit-il.

Tous deux, grimpèrent le long de cette construction abandonnée. Le squelette du bâtiment tremblait à chacun de leurs pas. Les grilles métalliques raisonnaient sous les claquements lourds de leurs chaussures.
Kuroge grimpait vite et avec fureur, une aura bestiale et ardente émanait de lui, c'était évident qu'il n'aurait pas de difficultés à faire ce genre d'activité, du haut de sa grande et fine taille.
À chaque mouvement, ils se rapprochèrent de plus en plus du ciel. Tous semblait irréel. Le sol, le point stable du centre de gravité, s'éloignait de leur réalité, montant vers d'autres cieux. Vers la voûte céleste, intrigante, immense, infinie.

~~~

Et donc nous nous retrouvons au sommet d'un immeuble ; un immeuble immensément élevé au dessus des tours de la capitale. Ici, le vent est toujours froid. C'est tellement tranquille à cette hauteur qu'on a le sentiment de perdre sa vie dans le vent sans pouvoir s'en rendre compte.
Une vague de vent raflait tout sur son passage, sifflant dans nos oreilles.

Kuroge se pencha en avant.
"- Une vie est si fragile.
Tout progresse, tout éclôt, rien ne connaît la déchéance, et mourir est différent de ce que nous pouvons croire, et plus heureux.
La mort, est la naturellement la fatalité de notre existence.
Elle représente l'absence, la finalité de toute œuvre vivante qui finit par s'éteindre. Le coeur est fragile, si fragile. Notre corps a des failles qui, avec le temps, abandonne sa propre foi. Le songe au désespoir peut sembler une porte de sortie, parce qu'elle nous est inconnue, mystérieuse, calme.
Le silence et le vide nous attire dans un sens car la destruction est inévitable, elle est la source d'une reconstruction, comme le mouvement de l'expansion constante de notre univers."
Une rafale de vent fit frémir les morceaux de briques qui s'effritaient sous leurs pas.

Il n'y a rien ici
Absence de toute vie
Juste le vide, et cette sensation de déréalisation totale, de déconnexion de la réalité terrestre

La fatigue montait à la tête de Shiro, les yeux plissés par le vent, ébloui par cet horizon époustouflant qui était magnifique à en crever.
Un étrange pincement au coeur se reserra dans sa poitrine, comme un choc électrique soudain qui frappa à l'intérieur de son crâne, il avait la nausée et sa vision tournait en négatif.
Il s'accroupit par terre, tout tremblant, le dos rond, les bras autour des genoux. Sa respiration était saccadée, sa salive emplissait sa bouche d'un acide écoeurant, le vent soufflait dans ses oreilles et semblait déchirer ses tympans.
Pris par une confusion incontrôlable, Shirotan se mit à sangloter et à trembler de tout son corps de façon convulsive et des maux sortirent de sa bouche :
"- Kuro, ne tombe pas. Si un jour tu meurs, je serais seul. Ne me laisser pas tomber s'il te plaît."
Surpris par sa réaction inattendue, Kuroge s'approcha, s'agenouilla à côté de lui et déposa une main sur le dos de son ami, assis à même le sol, tâchant son pantalon noir de poussières de craie blanche. Il approcha son visage près de son oreille et lui demanda si il allait bien. Tout tremblotant, Shiro eut une secousse et plongea sa tête davantage dans ses bras.
"- Ça va aller. Ça va aller, Shiro, tu m'entends ? Écoute-moi. Je ne vais nulle part. Regarde-moi. Je n'ai nulle part où aller. Je suis là." murmura Kuro.
Sa voix était rauque, brûlée par la tendance à trop fumer, mais douce et neutre. Il posa sa main sur la tête de Shiro et lui caressa tendrement la tête. En murmurant des paroles imperceptibles à cause du vent, il le prit dans ses bras.


[Retour]




Shiro se réveilla. Il lui fallut quelques minutes pour se rendre compte qu'il était dans son lit, dans son propre espace, les murs froids et blancs qui l'entourait. Une odeur familière. Un calme plat.
Il se redressa et regarda autour de lui, une veste noire à clous était posée sur une chaise, les chaussurea avaient été enlevées en hâte, traînant derrière elles des traces de poussières blanche sur la moquette propre. Quatres chaussures. Cela signifiait que quelqu'un était encore là ?
L'évier s'ouvrit et se ferma dans un bruit reconnaissable et sorti de la cuisine, Kuroge sans débardeur, deux verres d'eau à la main.
"- Salut."
Il tendit le verre d'eau le plus propre à Shiro.
"- T'étais sacrément mal en point hier, j'ai eu un mal épouvantable à te faire descendre de là. Pour après te porter jusqu'ici. Heureusement que j'ai réussi à craquer ton téléphone pour trouver ton domicile. C'était pas très compliqué, suffisait juste de ..."
"- Attends, stop. T'as fait quoi ?"
"- Eh bien, j'ai fouillé tes poches pour trouver tes clés aussi. Dis mon grand, c'est quoi toutes ces images dans ta galerie de photos ? C'est pas que je suis un voyeur, mais c'est un peu inquiétant."
Les images, les images. Les centaines de dossiers répertoriant des images réelles, fictives, choquantes. Des entrailles encore ardentes et rouges qui se déversaient aux yeux de tous, de la viande, de la pure obsession pour les organes internes, chauds, saignants. Des collections d'images non-censurées, des vidéos de suicides, d'accidents, des notes dégueulantes d'espoir et de désespoir, des choses, dont personne ne devrait lire ou voir. Tous ses vices et secrets lui remontèrent dans son esprit, de la sueur suintait dans son dos.
"- Qu'est-ce que tu as vu ... ?" demande précautionneusement Shirotan.
"- Oh, tu sais, il n'y a pas de sujet tabou avec moi. J'ai d'ailleurs laissé un petit cadeau dans tes photos. Rien de très sale, ne t'en fais pas."
La chaleur commençait à monter dans les joues de Shiro, il baissa les yeux en regardant ses mains, petites et blanches, légèrement rougies sur le bout des doigts et sur les articulations osseuses. Son coeur battait vite. Très vite.
Kuroge s'approcha, et s'assit sur le lit. Il posa délicatement sa main sur les mains croisées de Shiro et essaya de démêler gentiment ses doigts, passant entre chaque doigt jusqu'à toucher sa paume du bout de l'ongle. Ongles longs, très longs et peints en noir. Il leva la tête et regarda de près le visage rougit de Shirotan, qui semblait gêné comme un enfant. Sans prévenir, il laissa cogner sa tempe contre son front, une fois et la deuxième fois il caressa son visage avec le bout de son nez relevant ses cheveux rebelles. Shiro ne réagit pas. Trop gêné et confus pour bouger.
Kuro se pencha en avant et expira doucement dans l'oreille de son ami, et il ouvra la bouche et toucha son oreille avec sa langue dans un claquement de salive.
D'un bond, Shiro reprit ses esprits et recula la tête, plaquant sa main sur son oreille, mouillée, le visage totalement choqué et presque en larmes.
"- Oops, haha. Désolé. Je me suis emporté. Tu devrais aller désinfecter ton oreille, sinon Mika va être fâché." dit-il en reculant, avec un sourire un peu gêné.
Un peu honteux, Shiro se leva, et se dirigea d'un pas décidé, vers la salle de bain. Pris un coton, l'imbiba d'alcool et le pressa sur sa boucle d'oreille, un pincement aigü le piqua au contact du sang. Il fit la même chose pour sa deuxième oreille.
Kuro s'avança dans la salle de bain, se regarda dans le miroir, derrière Shiro qui s'occupait de plaquer ses cheveux rebelles avec de l'eau. Kuro était grand, fin, ses courbes masculines étaient harmonieuses, sa peau était si blanche. Il avait des cicatrices profondes à pleins d'endroits, des coupures dont les marques brillaient, des brûlures (de cigarettes ?), des lacérations recousues et son torse était entièrement tatoué. Son dos était larges, et ses épaules hautes, des cheveux d'un noir de jais profond. Son charme était ... Magnétique.
Il eut un sourire, sincère et éblouissant lorsqu'il s'aperçut que Shiro le regardait dans le reflet du miroir.
Un mince rayon de lumière chaleureux traversait la minuscule fenêtre de la salle de bain illuminant le visage des deux êtres à travers la pièce.

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Lorsque nous sommes arrivés au dernier étage de cet immeuble, le vent soufflait par rafales. Le soleil s'éveillait à l'horizon.

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Arrivés devant un bâtiment abandonné, une grille entourait l'entrée. Ils sont passés au dessus, Kuroge d'un balancement de jambe et Shirotan avec l'aide d'une poignée ferme.
Le sol était couvert de gravier, de plâtre de chantier, de palettes de bois qui ne semblaient pas avoir été déplacées depuis des années.
D'impressionnants échafaudages en acier se chevauchaient formant un schéma d'échelle stable et possiblement empruntable, longeant toute la hauteur du bâtiment.
"- Tu veux monter là-haut ?" demanda Shirotan
"- C'est le plan." dit-il en regardant la hauteur du bâtiment.
Cent-soixante et un, virgule, cinq mètres de hauteur. Si un humain tombait du cinquième étage, la gravité et le choc de sa masse seraient nettement suffisants pour faire cesser le fonctionnement de l'organe du coeur. Le système s'arrêterait brusquement au contact du sol. Laissant derrière lui l'éclat d'une vie prise au dépourvu.
Le coeur de Shirotan battait à tout allure. Il n'y avait aucune raison qui l'arrêtait sur le fait de grimper au sommet de ce bâtiment.

"- Juste pour voir alors." dit-il.

Tous deux, grimpèrent le long de cette construction abandonnée. Le squelette du bâtiment tremblait à chacun de leurs pas. Les grilles métalliques raisonnaient sous les claquements lourds de leurs chaussures.
Kuroge grimpait vite et avec fureur, une aura bestiale et ardente émanait de lui, c'était évident qu'il n'aurait pas de difficultés à faire ce genre d'activité, du haut de sa grande et fine taille.
À chaque mouvement, ils se rapprochèrent de plus en plus du ciel. Tous semblait irréel. Le sol, le point stable du centre de gravité, s'éloignait de leur réalité, montant vers d'autres cieux. Vers la voûte céleste, intrigante, immense, infinie.

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Et donc nous nous retrouvons au sommet d'un immeuble ; un immeuble immensément élevé au dessus des tours de la capitale. Ici, le vent est toujours froid. C'est tellement tranquille à cette hauteur qu'on a le sentiment de perdre sa vie dans le vent sans pouvoir s'en rendre compte.
Une vague de vent raflait tout sur son passage, sifflant dans nos oreilles.

Kuroge se pencha en avant.
"- Une vie est si fragile.
Tout progresse, tout éclôt, rien ne connaît la déchéance, et mourir est différent de ce que nous pouvons croire, et plus heureux.
La mort, est la naturellement la fatalité de notre existence.
Elle représente l'absence, la finalité de toute œuvre vivante qui finit par s'éteindre. Le coeur est fragile, si fragile. Notre corps a des failles qui, avec le temps, abandonne sa propre foi. Le songe au désespoir peut sembler une porte de sortie, parce qu'elle nous est inconnue, mystérieuse, calme.
Le silence et le vide nous attire dans un sens car la destruction est inévitable, elle est la source d'une reconstruction, comme le mouvement de l'expansion constante de notre univers."
Une rafale de vent fit frémir les morceaux de briques qui s'effritaient sous leurs pas.

Il n'y a rien ici
Absence de toute vie
Juste le vide, et cette sensation de déréalisation totale, de déconnexion de la réalité terrestre

La fatigue montait à la tête de Shirotan, les yeux plissés par le vent, ébloui par cet horizon époustouflant qui était magnifique à en crever.
Un étrange pincement au coeur se reserra dans sa poitrine, comme un choc électrique soudain qui frappa à l'intérieur de son crâne, il avait la nausée et sa vision tournait en négatif.
Il s'accroupit par terre, tout tremblant, le dos rond, les bras autour des genoux. Sa respiration était saccadée, sa salive emplissait sa bouche d'un acide écoeurant, le vent soufflait dans ses oreilles et semblait déchirer ses tympans.
Pris par une confusion incontrôlable, Shirotan se mit à sangloter et à trembler de tout son corps de façon convulsive et des maux sortirent de sa bouche :
"- Kuro, ne tombe pas. Si un jour tu meurs, je serais seul. Ne me laisser pas tomber s'il te plaît."
Surpris par sa réaction inattendue, Kuroge s'approcha, s'agenouilla à côté de lui et déposa une main sur le dos de son ami, assis à même le sol, tâchant son pantalon noir de poussières de craie blanche. Il approcha son visage près de son oreille et lui demanda si il allait bien. Tout tremblotant, Shiro eut une secousse et plongea sa tête davantage dans ses bras.
"- Ça va aller. Ça va aller, Shiro, tu m'entends ? Écoute-moi. Je ne vais nulle part. Regarde-moi. Je n'ai nulle part où aller. Je suis là." murmura Kuro.
Sa voix était rauque, brûlée par la tendance à trop fumer, mais douce et neutre. Il posa sa main sur la tête de Shiro et lui caressa tendrement la tête. En murmurant des paroles imperceptibles à cause du vent, il le prit dans ses bras.

[Retour]


Shirotan se réveilla. Il lui fallut quelques minutes pour se rendre compte qu'il était dans son lit, dans son propre espace, les murs froids et blancs qui l'entourait. Une odeur familière. Un calme plat.
Il se redressa et regarda autour de lui, une veste noire à clous était posée sur une chaise, les chaussurea avaient été enlevées en hâte, traînant derrière elles des traces de poussières blanche sur la moquette propre. Quatres chaussures. Cela signifiait que quelqu'un était encore là ?
L'évier s'ouvrit et se ferma dans un bruit reconnaissable et sorti de la cuisine, Kuroge sans débardeur, deux verres d'eau à la main.
"- Salut."
Il tendit le verre d'eau le plus propre à Shiro.
"- T'étais sacrément mal en point hier, j'ai eu un mal épouvantable à te faire descendre de là. Pour après te porter jusqu'ici. Heureusement que j'ai réussi à craquer ton téléphone pour trouver ton domicile. C'était pas très compliqué, suffisait juste de ..."
"- Attends, stop. T'as fait quoi ?"
"- Eh bien, j'ai fouillé tes poches pour trouver tes clés aussi. Dis mon grand, c'est quoi toutes ces images dans ta galerie de photos ? C'est pas que je suis un voyeur, mais c'est un peu inquiétant."
Les images, les images. Les centaines de dossiers répertoriant des images réelles, fictives, choquantes. Des entrailles encore ardentes et rouges qui se déversaient aux yeux de tous, de la viande, de la pure obsession pour les organes internes, chauds, saignants. Des collections d'images non-censurées, des vidéos de suicides, d'accidents, des notes dégueulantes d'espoir et de désespoir, des choses, dont personne ne devrait lire ou voir. Tous ses vices et secrets lui remontèrent dans son esprit, de la sueur suintait dans son dos.
"- Qu'est-ce que tu as vu ... ?" demande précautionneusement Shirotan.
"- Oh, tu sais, il n'y a pas de sujet tabou avec moi. J'ai d'ailleurs laissé un petit cadeau dans tes photos. Rien de très sale, ne t'en fais pas."
La chaleur commençait à monter dans les joues de Shirotan, il baissa les yeux en regardant ses mains, petites et blanches, légèrement rougies sur le bout des doigts et sur les articulations osseuses. Son coeur battait vite. Très vite.
Kuroge s'approcha, et s'assit sur le lit. Il posa délicatement sa main sur les mains croisées de Shiro et essaya de démêler gentiment ses doigts, passant entre chaque doigt jusqu'à toucher sa paume du bout de l'ongle. Ongles longs, très longs et peints en noir. Il leva la tête et regarda de près le visage rougit de Shirotan, qui semblait gêné comme un enfant. Sans prévenir, il laissa cogner sa tempe contre son front, une fois et la deuxième fois il caressa son visage avec le bout de son nez relevant ses cheveux rebelles. Shiro ne réagit pas. Trop gêné et confus pour bouger.
Kuro se pencha en avant et expira doucement dans l'oreille de son ami, et il ouvra la bouche et toucha son oreille avec sa langue dans un claquement de salive.
D'un bond, Shiro reprit ses esprits et recula la tête, plaquant sa main sur son oreille, mouillée, le visage totalement choqué et presque en larmes.
"- Oops, haha. Désolé. Je me suis emporté. Tu devrais aller désinfecter ton oreille, sinon Mika va être fâché." dit-il en reculant, avec un sourire un peu gêné.
Un peu honteux, Shiro se leva, et se dirigea d'un pas imbécile, vers la salle de bain. Pris un coton, l'imbiba d'alcool et le pressa sur sa boucle d'oreille, un pincement aigü le piqua au contact du sang. Il fit la même chose pour sa deuxième oreille.
Kuro s'avança dans la salle de bain, se regarda dans le miroir, derrière Shiro qui s'occupait de plaquer ses cheveux rebelles avec de l'eau. Kuro était grand, fin, ses courbes masculines étaient harmonieuses, sa peau était si blanche. Il avait des cicatrices profondes à pleins d'endroits, des coupures dont les marques brillaient, des brûlures (de cigarettes ?), des lacérations recousues et son torse était entièrement tatoué. Son dos était larges, et ses épaules hautes, des cheveux d'un noir de jais profond. Son charme était ... Magnétique.
Il eut un sourire, sincère et éblouissant lorsqu'il s'aperçut que Shiro le regardait dans le reflet du miroir.
Un mince rayon de lumière chaleureux traversait la minuscule fenêtre de la salle de bain illuminant le visage des deux êtres à travers la pièce.

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